The Lizard King

Louise Morvan is finally going to shed light on the mysterious death of her uncle, Julian Eden, whose agency she inherited. Commissioner Clémenti offers her a primary lead. He found the cop from whom the dossier was taken away and who was transferred to the provinces in 1979. The young woman’s solitary quest begins in Strasbourg. Meanwhile in Paris, Clémenti must flush out the “riverside killer”, a bloody assassin of the homeless.

Presse & Librairie

Françoise Dagent, Le Figaro littéraire

« Gouaille vigoureuse et verbe haut, l’héroïne charme sur d’autres tableaux, prenant les chemins inattendus que lui indique sa créatrice. L’auteur tricote une intrigue complexe dans un terreau réaliste, un Paris très incarné. L’action qui se déroule dans les années 1990 n’est jamais déconnectée de l’histoire de la société. »

Yann Plougastel, M Le Magazine du Monde

« Ce livre plus qu’attachant, où la mort, à Paris, de Jim Morrison, le chanteur des Doors, tient une place importante, même s’il parle en fait d’une autre chose, serait une nouvelle version de Travestis publié en 1998. Disons que c’est un autre livre. De toute façon, pour les beaux yeux de Louise Morvan, la détective rock’n’roll de ce roman, on est prêt à prendre n’importe quelle route. »

A.E., Valeurs actuelles

« Dominique Sylvain nous restitue un Paris sombre par une écriture forte, convulsive. Les indices s’égarent. Les témoins qui se taisent ne différent guère de ceux qui n’en disent pas assez. La vérité est travestie pour dissimuler les failles et les odeurs nauséabondes. [...] La romancière qui n’a rien à envier à Ed McBain conjugue actions et commentaires, maintient la pression de ces vérités cachées entre les lignes dans ce roman fascinant. »

Martine Piazzon, Froggy’s delight.com

« Sur fond de jazz et de chansons rock, l’enquête, et la quête, de la jeune femme qui va remuer au passé peuplé de personnages parfois stéréotypés, le flic infiltré qui brouille les frontières, le corse mafieux, la bourgeoise encanaillée, une chanteuse russe mariée à un dealer psychopathe et qui sont cependant ceux qui figuraient dans les vraies affaires des années 70, ne va pas sans quelques péripéties meurtrières qui musclent crescendo la partition. »