Gilles Heuré, Télérama
« Plus fort que toutes les images que l’on connaît de cette période tragique, ce texte est un reportage plein de ces mots jetés dans la peur ou la colère par les otages de l’exode. »
Frédéric Pagès, Le Canard enchaîné
« Ce récit est aussi un hymne à l’ami intime, à Saint-Exupéry, dont la splendide préface inédite, retrouvée aux États-Unis, donne tout son prix à cette réédition. »
Grégoire Leménager, L’Obs
« Il est de ces écrivains qui s’obstinent à parier sur l’intelligence humaine, même quand la bêtise devient tragique. C’est rare, donc précieux. »
Pages
« Léon Werth observe, écoute, mémorise et analyse les situations avec une finesse inégalable. »
Lire
« L’un des meilleurs récits de l’exode de 1940 qui soient. »
Dominique Autrand, Le Monde Diplomatique
« Léon Werth s’en tient à ce qu’il voit. Et son aigu est parfois celui d’un poète. »
Didier Garcia, Le Matricule des anges
« 33 Jours est le récit au jour le jour d’une odyssée en temps de guerre. Par son intensité dramatique involontaire (rien de travaillé ici, rien qui serve la moindre cause littéraire), cette chronique donne souvent froid dans le dos, même rétrospectivement. […] Et l’on ne peut s’empêcher de penser qu’en juillet 1940 le pire est à venir. »
Librairie Vivement Dimanche (Lyon)
« Juin 40, le récit de la débâcle française vue de l’intérieure. Un récit passionnant plein d’intelligence pour un grand auteur ! »
The Times
« This account exists because of Antoine de Saint-Exupéry, author of The Little Prince, which was dedicated to Werth. Saint-Exupéry smuggled the manuscript out of France and found it a publisher. The fee : cigarettes, chocolate and water purification tablets. However, Werth, who died in 1955, aged 77, didn’t live to see its publication - the manuscript went missing and wasn’t rediscovered until 1992. »
The Guardian
« Certainement le meilleur récit de première main sur l’Exode. (…) Comment une nation fait-elle face à la défaite et l’occupation ? Comment réagit-elle ? »
Cleaver Magazine
« Le style de Werth est hallucinant. Les mots coulent comme glissent les voitures, comme le temps perd son sens. »
Flavorwire
« Une chronique indispensable d’un événement historique majeur. »