Raphaëlle Leyris, Le Monde des Livres
« Roman bien mené, réflexion sensible sur l’art et sur la notion d’époque, Itinéraire d’un poète apache constitue une entrée en littérature à saluer. »
Hubert Artus, Lire
« Un premier roman brillant, qui rapproche les destins de Kurt Cobain et d’Arthur Rimbaud. [...] En 2013, Staelens offre un double hommage [...]. Une vista politique et poétique. Un tour de force. »
Franck Mannoni, Le Matricule des anges
« Pour son premier roman, Guillaume Staelens a visé haut : ni plus ni moins qu’une transposition de l’errance rimbaldienne dans l’Amérique des années 1990. [...] Une fresque sociale et humaine qui foisonne de références, peinture éclairante de plusieurs décennies d’agitation US. »
Julien Bisson, Technikart
« Il ne faut pas être "voyant" pour deviner que Guillaume Staelens a du talent. [...] Cet "Itinéraire" est celui d’une descente aux enfers proche de l’hallu, prétexte pour revisiter vingt ans de culture pop, de bouleversements politiques et de rêves libertaires au bout desquels son bateau ivre voguera vers d’autres horizons. »
Julien Pessot, ActuaLitté
« Dense, vaste, exalté et mesuré à la fois. [...] Nicholas Stanley est l’un des personnages les plus aboutis de ce début de XXIe siècle, dans la lignée des grands exaltés qui, toujours, arrivent trop tard [...] ces ultimes romantiques désabusés sans nouvelles terres à explorer, plein de rêves et d’enthousiasmes d’un autre temps, ceux qui arrivent après les grandes révoltes, qui observent avec retard les grandes secousses de l’histoire depuis des sociétés conformistes, tout en rêvant d’en vivre, enfin, les dernières heures. »
Jérôme Dejean, librairie Lamartine (Paris XVI)
« Un récit intense, à la fois rock et poétique, identitaire et politique, qui capture toute l’Amérique d’une époque à mi-chemin. Un roman d’aventures modernes qui sait se faire l’écho des peurs et des interrogations de toute une génération dite "perdue", celle née dans les années 1970. Publié initialement en 2013, ce livre n’a rien perdu de son actualité ni de son mordant sur nos sociétés. »