« Un truc assez gonflé, en fait, qui n’hésite pas à prendre des chemins de traverse, à tordre son récit, à s’épancher sur des personnages plus que polir une intrigue à tiroirs. [...] Plus le récit avance, plus Karim Miské maîtrise le tempo et trouve sa propre voix. Celle d’un auteur qui a suffisamment confiance dans le genre et dans son propre talent pour, dès son premier roman, oser des embardées et des ruptures de ton. Un auteur est né. Et c’est une bonne nouvelle. Dès qu’il se mettra à courir, il ne sera pas facile à rattraper. », Eric Libiot, L’Express