Gérard Collard, Le Magazine de la santé
« Un des meilleurs romans français de l’année ! »
Alexandra Schwartzbrod, Libération
« Ce polar est une étonnante plongée dans les faux-semblants et la misère humaine de Kabukicho, lieu de plaisirs autant que de non-dits. »
Yann Plougastel, M Le Magazine du Monde
« Auteure d’une douzaine de polars d’une grande finesse, tels Strad (2001) et Passage du désir (2004), Dominique Sylvain dans Kabukicho décrit de l’intérieur, loin des clichés, les codes et les règles de la face cachée de Tokyo. »
Philippe Blanchet, Le Figaro Magazine
« Au-delà de l’exotisme, cet effrayant Kabukicho s’impose avant tout comme un fascinant roman noir aux allures de théâtre d’ombres, où les apparences, les faux-semblants, les mensonges et les névroses brouillent sans cesse les pistes d’une intrigue aussi emmêlée qu’un délicieux plat de nouilles yakisoba. »
Bruno Corty, Le Figaro littéraire
« Dominique Sylvain met en place les éléments d’un puzzle complexe où amitié, désir, jalousie et yakuzas mènent la danse. C’est rondement bien mené, exotique à souhait et assez effrayant. Une belle réussite ! »
Le Soir
« Un coupable inattendu trame une machination complexe, que l’on découvre avec stupeur (et tremblements). »
Marie-Claire
« Roman à suspense, sur fond de manipulation raffinée. La mécanique policière est adroitement huilée. Et l’auteure, dans un style efficace non dénué de subtilité ni de fulgurances, réussit à nous emmener là ou elle veut... »
Paris Match
« Dominique Sylvain nous propose un palpitant jeu de masques. Son théâtre de la cruauté marie l’univers de Patricia Highsmith à celui de Kawabata. Fascinant. »
Avantages
« Le roman, machiavélique, nous égare et nous tient en haleine. Un formidable thriller ! »
Frédérique Humblot, Les Échos week-end
« Une violence à la fois froide et rageuse s’empare du roman ; on est pris dans les rets d’un esprit aussi malade que déterminé à faire table rase autour de lui... On n’en dira pas plus. Prenez plutôt le départ pour Tokyo avec Dominique Sylvain. »
Frédérique Bréhaut, Le Maine Libre
« Gare à la cité des mensonges, prévient Dominique Sylvain. Les vampires y font leur nid. Au jeu des faussaires, la romancière taquine Patricia Highsmith. »
La Vie
« Autant que l’intrigue policière, c’est la description des us et coutumes locaux qui captive. La romancière a vécu au Japon, et cela se sent. Elle décrit avec sensibilité l’atmosphère singulière des nuits tokyoïtes et les quartiers interlopes baignés par la lumière des néons [...] menant le lecteur par le bout du nez jusqu’à une revélation finale glaçante. »
Christine Ferniot, Lire
« Dominique Sylvain a changé d’écriture pour ce nouveau livre très sombre et d’une précision d’entomologiste. [...] Quitter ses personnages récurrents apporte à la romancière une liberté bienvenue et un nouveau sens du rythme et de la narration. »
Air France Madame
« Mensonges et suspense garantis au pays du soleil levant. »
Bernard Lehut, Les livres ont la parole (RTL)
« Un nouveau roman policier au cœur du Japon particulièrement réussi ! »
Télé 7 jours
« Dépaysement et frissons garantis. »
Marc Fernandez, LCI
« Un roman noir original, dépaysant et haletant. Que demander de plus ? »
Brice Vauthier, Librairie L’Étagère (Saint-Malo)
« Une écriture fine, ciselée et extrêmement addictive. »
Rémy, Librairie Au Temps Lire (Lambersart)
« Dominique Sylvain réussit à nous faire entrer dans un monde méconnu, à la rationalité différente de la nôtre, parfait pour un décor de polar. »
Librairie Royaumes (Paris XIII)
« Si vous cherchez un très bon polar, une histoire sombre à souhaits, un univers captivant... c’est LE LIVRE à DÉCOUVRIR [...] L’intrigue est menée d’une main de maître ! Génial ! »
Thomas Carle, Librairie Le Comptoir des mots
« Dominique Sylvain revient au Japon avec un style un brin plus noir, elle ose plus de cruauté avec beaucoup de finesse, une montée crescendo et un final retournant totalement assumé ! Un roman à découvrir de toute urgence ! »
Morgane Marvier, librairie Monet (Montréal)
« Un excellent roman noir comme sait le faire Dominique Sylvain et une plongée dans un monde très différent. »
