« Un jour, je trouverai quelqu’un qui m’aimera
suffisamment pour me tuer ;
Et un jour je trouverai quelqu’un que j’admire
suffisamment pour le forcer à le faire. » Harry Crews, La Malédiciton du gitan.
Cette phrase, mise en exergue de la nouvelle intitulée Médée, donne une des clés de l’univers d’Armande Gobry où les héros sont tellement en manque (d’amour, de joie, de force vitale), qu’ils ne voient plus les autres, pour ne plus que les admirer.