The Murder of Aunt Léonie

Estelle Monbrun (ENG)

Adelin, the self-appointed directress of the Marcel Proust association, is found murdered on the eve of the society’s annual convention. Inspector Foucheroux is called from Paris to investigate. He soon discovers that the victim was a ruthlessly ambitious as the pretentious intellectuals on his list of suspects, and that almost everyone who knew her had a motive to kill. When published, this book caused a scandal for its merciless treatment of the world’s most sensitive egos : the academic elite.

« A crime, manuscripts lost, then found, Proust becomes breathless, a tasty detective novel like a madeleine soaked in hot liquid in the autumn. It’s so thrilling that we won’t tell you anymore about it. »

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Presse & Librairie

Le Monde des Livres

« Un remarquable polar « à l’anglaise », peinture acérée des cénacles universitaires, concocté sous un nom de plume, par une spécialiste de Marcel Proust. »

Le Canard enchaîné

« Le parfum qui se dégage de ce petit livre a suffi pour nous donner un léger frisson et un plaisir certain ! »

L’Express

« Comme chez les grandes dames anglo-saxonnes, les délectables discussions comptent ici presque autant que le crime. »

Libération

« Estelle Monbrun a le bon goût de ne pas se contenter de nous bluffer par de multiples références à sa fascination. Elle bâtit un roman à la solide charpente psychologique et qui nous en apprend beaucoup sur les mœurs et la névrose des groupies d’œuvres littéraires. »

Le Journal du Dimanche

« Un crime, des manuscrits perdus, retrouvés, Proust devient haletant, le polar savoureux comme une madeleine trempée dans un liquide chaud en automne. C’est tellement passionnant qu’on ne vous en dira rien de plus. »

L’Écho Républicain

« Un polar proustien drôle et féroce. »

Marie Michaud, Librairie Gibert Joseph (Poitiers)

« J’aime beaucoup quand le roman s’amuse avec les mythes de la littérature. Dans Meurtre chez tante Léonie, on sent qu’Estelle Monbrun prend vraiment plaisir à jouer avec l’univers de Proust, entre connivence et ironie, comme elle le fera ensuite avec Yourcenar, Colette ou Neruda. De quoi redécouvrir les classiques sous un autre angle ! »