An uncertain place

Fred Vargas (ENG)

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Adamsberg leaves for a three day colloquium in London. Estalère, the young sergeant, and Danglard – terrified by the idea of going under the Channel – are part of the trip. Everything should go lightly and smoothly, but a macabre event puts their colleague from New Scotland Yard, Radstock, on his guard.

Clyde-Fox, a local eccentric, talks to him about the old Highgate cemetery. Shoes – with feet inside them – are facing the cemetery, “one of the most baroque romantic cemeteries of the West”, a macabre, gothic, unique place. As the British investigation begins, the French go back to their country and find themselves confronted by a horrible massacre in a suburb house.

Little by little, Adamsberg, with Danglard’s help, follows the vampires’ track and that of the vampire killers as far as Siberia.

The superintendent is in the centre of the novel, in every possible way. La Boule meets an almost rival, Danglard is close to falling in love, Retancourt is as efficient as always, but the squad is not as safe as it used to be.

Presse & Librairie

Sabrina Champenois, Libération

« Elle est vraiment forte, très forte, voilà ce qu’on se dit dès le deuxième chapitre d’Un lieu incertain, le onzième roman policier de Fred Vargas. Il est évident, dès cette affaire de pieds coupés retrouvés devant le fameux cimetière londonien d’Highgate, qu’une main très ferme tient déjà personnages et intrigue, et qu’il va y avoir de l’ampleur, de l’ambition. »

Pascale Frey, ELLE

« Un lieu incertain nous plonge avec maestria dans une enquête aussi haletante que tortueuse. [...] Ce qui est formidable avec Fred Vargas, c’est qu’elle nous entraîne sur des sables mouvants avec un talent et une imagination inégalables. Ses histoires sont tellement complexes qu’il semble qu’elle ne réussira jamais à retomber sur ses pieds. Eh bien, si... Elle ne nous laisse pas sur notre faim, apporte des explications tout à fait rationnelles à des événements qui ne le sont pas. Et élève le polar au rang du grand art. »

Valérie Gans McGarry, Madame Figaro

« Une fois de plus, l’auteur nous emballe et nous séduit avec une intrigue à couper le souffle, menée tambour battant par des personnages que nous connaissons bien depuis le temps, et dont on adore la drôlerie et les névroses. »

Alexandre Fillon, Livres Hebdo

« Deux ans après Dans les bois éternels, Fred Vargas nous revient dans une forme olympique. Il est toujours plaisant de lire une romancière rusée dont l’intrigue n’avance pas droit, qui sait ménager les temps morts, fait évoluer des originaux, a le sens du décalage, des dialogues surréalistes et des coups de théâtre. [...] La reine du polar français ne semble pas prête à céder son trône. »

Claire Julliard, Paris Match

« Fred Vargas [...] surprend son monde. La discrète auteure [...] flirte franchement avec le gothique. Mais chez elle l’horreur est stylisée, référencée - son livre rend explicitement hommage à Bram Stocker, le père de Dracula - et tempérée par sa douce fantaisie, son humour, son érudition. »

Michel Vagner, L’Est républicain

« Une mystérieuse lettre conduit l’imperturbable Adamsberg dans un village serbe jusqu’au tombeau d’une âme damnée, tandis que le souvenir lancinant d’un plat breton, les solettes à la Plogoff, lui donne la clé de l’énigme. [...] Fred Vargas n’a pas son pareil pour embrouiller les pistes, et offrir d’astucieux rebondissements, tout en déroulant, mine de rien, une intrigue impeccable, qui laisse sa chance à chacun de ses personnages. Ils ne sont jamais tout à fait ce qu’on croit qu’ils sont. »