Actualitté
"Ce roman au style épuré et graphique offre, avec une touche d’humour noir, une vision particulière d’une société en crise."
Causeur
"C’est un roman fort étranger, écrit par une romancière qui a reçu en 2015 le Prix européen de littérature, dont les récipiendaires sont souvent l’espoir littéraire du Vieux Continent."
Hebdoscope
"L’un des grands romans de ce printemps, le lecteur, sitôt entré dans ce livre magnifiquement traduit par Margarita Le Borgne, ne peut jamais en ressortir. Il est fort à parie que vous ne trouverez jamais la sortie et finirez par être emprisonnée dans un livre."
Guillaume Cherel
"L’autrice interroge « avec humour et subtilité », dixit, les contours de la liberté et nous offre une vision surprenante d’une société en crise où se révèle la complexité du monde. Il suffit d’aimer la littérature qui bouscule, dérange, réveille de la routine des livres marketés, formatés pour caresser le « grand » public dans le sens du poil. Ici, il se hérisse de plaisir avouable."
Le Nouvel Obs
"Le livre vaut aussi pour la manière dont elle évoque le climat, à la fois fascinant et délétère, de la République de Weimar. Undine Radzeviciute exécute une jolie descente en rappel tout au fond du gouffre immoral où l’humanité s’est enfoncée. Elle n’a surtout pas son pareil pour mettre en scène le diable en personne : son terrifiant Walter. Il est bibliophile comme Umberto Eco et sanguinaire comme Jack l’Eventreur."
Lire Magazine
"Grâce à l’ironie jamais gratuite, on passerait presque au héros les aspects dérangeants de sa marotte, prétexte à l’une des évocations les plus saisissantes de la République de Weimar depuis le film Cabaret."
La Viduité
"Parvient à dessiner en creux, par le comique, des autres personnages qui traversent cette très sombre fantaisie. Un roman étrange. Depuis Dostoïesvki, le roman se fonde, interroge sa perverse fascination, sur cette nietzschéenne affirmation de la mort de Dieu, par nous assassiné."
Télé 7 jours
"Ce roman bien déjanté aura de quoi vous enchanter et vous faire rire."
Le Figaro
"Etrange et superbe roman. Quelque chose entre Oscar Wilde et Marguerite Yourcenar."
Marenostrum
"En dépit de la gravité de son sujet, le roman d’Undiné Radzeviciuté s’avère d’une grande drôlerie. Le style vif et enlevé de l’autrice se révèle, à chaque page, d’une ironie mordante, qui n’épargne personne. Un livre plein de puissance et d’originalité, une réflexion esthétique, dans un contexte troublé. Un récit passionnant, plein de force et d’ironie. Une autrice au ton très personnel. Une voix et un univers à découvrir de toute urgence."
Ouest France
"Il y a quelque chose de malsain dans cette histoire ce qui n’empêche pas l’autrice de la raconter avec légèreté. Et de poser, entre les lignes, la question de savoir si la création artistique, ou ce qui y ressemble, permet toutes les licences."
Trois couleurs
« Un roman étrange, ambigu et envoûtant, qui recrée comme dans un film à l’atmosphère des années 1930 »
Le Temps
“Même si le sujet du livre est à n’en pas douter scabreux, l’autrice se l’approprie sans complaisance et insuffle à son récit des doses massives d’humour aussi corrosif que roboratif. On verrait bien un Jim Jarmusch en proposer une adaptation cinématographique décalée.”
Historia
« Certains écrivains savent en peu de mots créer une atmosphère, prendre le lecteur par la main et le mener dans des contrées dangereuses sans qu’il y trouve à redire voire y prenne un plaisir immédiat. C’est le cas d’Undiné Radzeviciütè, une des grandes voix de la littérature lituanienne contemporaine. »
RFI
« Une voix très singulière, comme en témoigne son roman le plus récent paru aux éditions Viviane Hamy, sous le titre "la Bibliothèque du beau et du mal". »
Libération
« Un texte incroyable et dérangeant […] maniant l’humour noir comme la dérision, l’autrice a un imaginaire foisonnant. »
Radio Campus Lille
« Ce texte m’a absolument enchanté [..] une histoire à la fois très sombre, extrêmement brillante, magnifiquement tenue de bout en bout »