Mémoires de jeunesse

Vera Brittain

Disponible aussi en version numérique

Voici un récit sans concession sur ce que fut le choc de la Première Guerre mondiale, un roman d’apprentissage où les sentiments amoureux sont magnifiés par l’urgence de vivre, ainsi qu’un manifeste féministe et pacifiste poignant.

En nous décrivant l’enthousiasme et les idéaux romantiques de sa jeunesse, Vera Brittain revient sur son combat de femme pour entrer à l’université d’Oxford, sur son premier amour brisé par le destin funeste qu’allaient connaître nombre de jeunes hommes au cours de la Grande Guerre, sur son engagement comme infirmière volontaire à Malte et en France. Elle met au jour les désillusions cruelles d’une société qui peine à se projeter et à se réinventer ; elle nous raconte la culpabilité des aînés face à la tragédie dans laquelle ils ont précipité leurs enfants. Elle défend l’urgence et la nécessité d’une paix durable en oeuvrant pour la Société des Nations, sans oublier ses luttes en tant que femme de lettres. Best-seller plusieurs fois adapté à l’écran et encensé en son temps par Virginia Woolf, Mémoires de jeunesse – paru en 1933 et traduit pour la première fois en français – est l’un des grands classiques de la littérature anglaise du XXe siècle.

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Presse & Librairie

Le Figaro

« Un inédit d’une femme hors du commun, également admirée par Woolf. Passionnant[…] »

Le Suricate Magazine

« L’écriture est fluide, agréable et poétique […] un manuscrit tenu avec rigueur […] Mémoires de jeunesse mêle avec finesse la petite et la grande histoire. L’ouvrage fait honneur à toute une génération de jeunes femmes et de jeunes hommes dont l’Histoire a exploité le «  juvénile enthousiasme  ».

Vocable Anglais

« Une des grandes figures féministes et pacifistes anglaises du XXème siècle », « ouvrage autobiographique […] de cette femme engagée ».

Libération

« Dans son journal, en 1933, Virginia Woolf raconte qu’elle est restée éveillée toute la nuit, avide de finir Mémoires de jeunesse […] dès sa sortie, un succès fou. […] L’effet décrit par Woolf reste garanti […] Plaisir de lecture au souffle romanesque, au style puissamment incarné par une personnalité sensible et frondeuse, texte saisissant ».

Hebdoscope

« Il y a dans ces pages de réelles qualités littéraires façonnées par une grande culture qui permet au lecteur de voyager dans la littérature britannique du 19e siècle. ».

Le Pèlerin

« Best-seller en Grande-Bretagne en 1933, le récit de cette infirmière de la Grande Guerre est traduit en français pour la première fois. »

Lire, le magazine littéraire

« De ses rêves d’écriture à ses débuts de militante pour la paix […] l’écrivaine Vera Brittain […] a partagé les « péripéties » d’une jeunesse marquée par la mort et la solitude, mais aussi par la poésie, le voyage et l’engagement dans un « roman autobiographique » enfin traduit en français. »

Revue des Deux Mondes

« Première phrase des Mémoires de jeunesse de Vera Brittain donne le ton. Autodérision, humour et honnêteté gouvernent les sept cents pages de récit autobiographique qui se lit, d’abord, comme un formidable roman d’apprentissage. »

La Marseillaise

« Plus profond respect à Josée Kamoun et Guy Jamin, que nous saluons chapeau bas. Sans eux, et sans l’éditrice, les lecteurs français n’auraient jamais fait connaissance de cette femme exceptionnelle,[…] et qui […] malgré ses nombreuses pages, on ne peut le lâcher jusqu’à ce que nous ayons fini de le lire. »

Le Matricule des Anges

« Un témoignage d’une précision méticuleuse[…] Le récit passionné de ses années de jeunesse, entre mélancolie et combativité, restitue un parcours inspirant et un engagement exemplaire ».

Revue des livres

« Un livre de passion et de combat […] dans lequel on se laisse emporter par la vivacité de l’écriture […], le lecteur quitte Vera Brittain avec regrets. »

Ouest France

"Un récit riche au long court[…]une femme de tête."

zoom sur l’auteur

Pacifiste et féministe, Vera Brittain (1893-1970) est l’auteure de (...)

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