The Burning of the Chiado

François Vallejo (ENG)

In August 25th 1988, the magnificent city of Lisbon was burning. Through his hotel window, François Vallejo was one of the first to hear the rumbling flames, to see the transforming sky, to feel the colours of the fire.

« A short and frantic narrative. »

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Presse & Librairie

Agnès Séverin, Le Figaro

« Une poésie du désastre intacte, qui joue habilement des clairs-obscurs et des changements de perspective. »

Jean-Christophe Buisson, Le Figaro magazine

« Il s’agit de l’œuvre d’un grand romancier français qui, après Ouest, sait se renouveler avec talent. »

Bernard Fauconnier, Le Magazine littéraire

« Son œuvre s’affirme de livre en livre comme une plongée dans les catacombes de l’âme humaine. »

Claire Julliard, Le Nouvel Observateur

« Les livres de François Vallejo sont construits, structurés, charpentés, son style est affûté, racé. Cet écrivain possède surtout l’art de créer des personnages détonants. »

J-C. Raspiengeas, La Croix

« L’Incendie du Chiado confirme le talent singulier de cet écrivain surprenant. »

André Rollin, Le Canard enchaîné

« Un vrai romancier maître de ses visions : c’est ensorcelant. »

Christine Ferniot, Lire

« Comme sur une scène de théâtre, François Vallejo fait bouger ses marionnettes, mêlant la réalité et la fiction, le drame d’une ville en train de disparaître et la comédie d’un quintette peu recommandable. »

Soizic Merlat, Page

« François Vallejo n’a pas son pareil pour instiller le mystère et faire surgir in extremis la réalité. Il signe ici une remarquable étude de l’âme humaine et de ses tourments. »

Marie Chaudey, La Vie

« Un huis clos impitoyable où le suc des relations est distillé avec une cruelle lucidité. »

Le Dauphiné libéré

« Un roman haletant. »

Françoise Feuillet, Avantages

« Avec son talent habituel, François Vallejo nous catapulte dans son histoire, sans préambule, donnant une force quasi cruelle à son roman. Du grand art. »

Rose-Aimée Jouan, Le Phare de Ré

« Construction, style, suspense et justesse de ton s’allient pour animer magistralement cette scène théâtrale : "Le Chiado". Vallejo confirme là le talent révélé dans ses précédents romans. »