« … D’un mouvement rapide de sa main, Yvonne tapotait sa robe comme si elle eut voulu chasser la souillure de tous ces contacts sans désirs et sans choix, comme de rite et de saturnales.
Sans le savoir, elle avait exprimé l’abjecte promiscuité des corps et des pensées dont la guerre avait sali le monde. Comme les soldats ivres entourant Yvonne, des idées sans âme, des idées en uniforme, cachant la crasse sous l’oripeau, avaient, pendant cinq ans, assailli les hommes. »