The Acrobats

François Pieretti (ENG)

A few years earlier, I had gone with my father on a long trip towards Clermont-Ferrand. Sometimes he let me take the wheel on the empty four-lane highways of the south-west, for long stretches, the moorland interrupted only by desolate sawmills and garages far off in the distance. I drove with my left hand. My mother didn’t know that I took the driver’s seat. It was irresponsible of him but the misdemeanor coupled with the thrill of the road gave me the impression of being an adult, for a few kilometres. My father made the most of it to roll some thin cigarettes that he held between his thumb, forefinger and middle finger. His tongue slipped twice over the narrow strip of glue. He came from a generation that did not stop every two hours to take a break, and often traveled at night. One day, I saw a comparative crash test between two cars, one from the 1990s and the other from today. My brother and his old Renault hadn’t stood a chance.

Presse & Librairie

François Perrin, Le Vif-L’Express (Belgique)

« À des lieues de l’esbroufe comme du cynisme, François Pieretti tâtonne avec élégance, sans juger. »

Rémi Bonnet, L’Écho Républicain

« Ce Saltimbanques, conçu par un jeune romancier que l’on attendait pas, François Pieretti, est une excellente surprise […] Il faut un certain talent, et une inconscience bienveillante pour se jeter à corps perdu dans les sujets archi-rebattus comme les histoires de famille, sans tomber dans les clichés. »

Bernard Quiriny, L’Opinion

« Saltimbanques est un beau roman sur la dérive d’un héros sans attaches et qui cherche un point de chute. […] La dernière partie du livre, où Nathan pousse l’errance jusqu’à la limite - territoriale puisqu’il échoue devant la mer, sociale puisqu’il frôle la clochardisation -, avant de rebondir, est lumineuse. »

Aujourd’hui week-end

« On s’attache à ce narrateur capable de s’émouvoir pour une fille parce qu’elle lit des contes russes et qui se lie à une bande de jongleurs. Une petite musique modianesque. »

Estelle Lenartowicz, Lire

« Porté par la belle maturité de sa plume, le vagabondage du personnage principal, Nathan, se mue peu à peu en l’histoire d’un passage à l’âge adulte. Tout en beauté et en retenue. »

Véronique Rossignol, Livres Hebdo

« Le primo-romancier François Pieretti suit avec empathie jusqu’au littoral breton les errances endeuillées de Nathan, ce jeune homme sans but, sans plan et sans attaches, qui en tentant de renouer les fils desserrés qui le relient à son enfance, trouve refuge dans les solidarités ambiguës et fragiles d’un groupe fatalement amputé de l’un de ses membres, au milieu d’un cercle de feu protecteur, le temps de se réchauffer. »

Librairie Compagnie (Paris V)

« Un premier roman très abouti. »

Michael, Librairie de Paris (Paris)

« Saltimbanques possède une émotion toute singulière, de celles qui s’imposent en douceur, sans faire de bruit. Pourtant ce premier roman est avant tout un texte de vie, de rage et d’espoir. Nous portons au fond du cœur l’immense certitude que François Pieretti ira loin. »

Christophe, Librairie L’Arbre à Lettres (Paris Bastille)

« Entre ombre et lumière, ce premier roman à la petite musique envoûtante, se révèle d’une étonnante maturité. »

Clémence, Librairie Au Comptoir des Lettres (Paris Ve)

« Un premier roman fascinant par sa subtilité et son intensité, du fond et de la forme. Superbe. »

Erick-Amaury Zion, Librairie Cosmopolite (Angoulême)

« Un premier roman éblouissant. Une écriture sensible, digne et juste, il n’en fallait pas plus pour susciter mon intérêt. J’ai dévoré ce roman singulier, touchant et magistral en quelques heures à peine. »

Librairie Lulu (Mornant)

« Un roman délicat, intelligent et émouvant. Un auteur à découvrir. »

Librairie L’Autre Monde (Avallon)

« Un premier roman très touchant sans jamais être larmoyant, mais capable d’être franchement drôle ! Une jolie découverte de ce début d’année ! »

Alexandre Cavallin, Librairie de Port Maria

« La nécessaire (r)évolution d’un adolescent prolongé, des brumes de l’incertitude à la découverte de lui-même. Le décès brutal de son jeune frère et la quête de ce qu’il était, de ses amis, de sa vie, vont agir comme des coups de fouet. Il réussit à nous émouvoir, à nous agacer, à nous entraîner dans son voyage… »

Hugo Moresve, Decitre Annecy

« Un premier roman, venu des Éditions Viviane Hamy en cette rentrée de janvier. François Pieretti nous raconte l’histoire bouleversante de Nathan, ayant quitté le sud de la France et le domicile familial pour Paris. Un jour, Nathan apprend la mort de son frère Gabriel, 18 ans, sur une route proche de chez ses parents. Ce roman n’est pas celui de la peine ou du remord, mais celui du retour aux origines, et surtout de la formidable empathie que l’on ressent pour ce personnage qui essaye de reconnaître son frère à travers ses proches amis. Ce sont eux, les saltimbanques, qui sont finalement au centre de ce livre : ils symbolisent la vie, et seront la rédemption de Nathan. »

About the author

François Pieretti (ENG)
Born in 1991, François Pieretti grew up in a little village, surrounded (...)

Dans la même collection

Le Buzuk

Le Buzuk

|

Marie Kelbert

Au hasard heureux

Au hasard heureux

|

Mehtap Teke

Déchirer le grand manteau noir

Déchirer le grand manteau noir

|

Aline Caudet

Tendres ténèbres

Tendres ténèbres

|

Hoai Huong Nguyen

Newsletter

Pour recevoir régulièrement
des informations sur l’actualité
de la maison, abonnez-vous à
notre liste de diffusion.

Inscrivez-vous


Désinscrivez-vous