Si vous ne visualisez pas correctement ce message, cliquez ici  
 
Merci d'autoriser l'affichage des images Merci d'autoriser l'affichage des images

Newsletter 

Le 26 septembre 2012 

 
  Merci d'autoriser l'affichage des images  
 
         
  Le Grand Prix de Littérature Policière 2012 a été (...)  

Le Grand Prix de Littérature Policière 2012 a été attribué au roman "Arab jazz" de Karim Miské !

 

« Un truc assez gonflé, en fait, qui n’hésite pas à prendre des chemins de traverse, à tordre son récit, à s’épancher sur des personnages plus que polir une intrigue à tiroirs. [...] Plus le récit avance, plus Karim Miské maîtrise le tempo et trouve sa propre voix. Celle d’un auteur qui a suffisamment confiance dans le genre et dans son propre talent pour, dès son premier roman, oser des embardées et des ruptures de ton. Un auteur est né. Et c’est une bonne nouvelle. Dès qu’il se mettra à courir, il ne sera pas facile à rattraper. », Eric Libiot, L’Express

         
 
     
 

L’histoire ...

 
     
 

À Paris, le 19e est un arrondissement des plus cosmopolite : sushis kasher, restaurant turc, coiffeur juif, libraire arménien...

Seul Ahmed Taroudant demeure à l’écart : prisonnier de son histoire, rêveur, lecteur fou de polars... jusqu’à ce qu’il découvre le corps affreusement mutilé de sa voisine et amie, Laura Vignola, attaché au-dessus de son balcon. Il comprend vite qu’il constitue le coupable idéal. L’horreur de la situation l’extirpe de sa léthargie, et il va collaborer avec les lieutenants de la Crim’ qui mènent l’enquête, la flamboyante Rachel Kupferstein et le Breton Jean Hamelot. Les imaginations s’enflamment. Mais, ensemble, ils détiennent les éléments pour décrypter cette mort. Un meurtre symbolique exécuté par un fou de Dieu loubavitch ou salafiste ? Qu’en est-il du père de Laura, Témoin de Jéhovah, dont l’influence s’étend jusqu’à New York ? Quel rôle joue le Godzwill, cette si jolie pastille qui traverse les frontières ?

Foisonnant, pétri de sons, de musiques et de parfums, Arab jazz est le premier roman de Karim Miské.

 
     
     
 

Quand la presse en parle !

 
     
 

« Du jamais-lu. À partir d’un meurtre rituel - du moins en apparence - Karim Miské, quarante-sept ans, père mauritanien, mère française, réalisateur de documentaires (notamment sur les néofondamentalismes juifs, chrétiens et musulmans), propose une plongée hallucinante dans le 19e arrondissement de Paris. », Thierry Gandillot, Les Échos

« Intrigue rocambolesque autour d’un meurtre sanglant, personnages pittoresques de crypto-loubavitchs (!) ou de salafistes sortis d’une version contemporaine d’un roman de Chester Himes, duo de flics haut en couleur que l’on reverra à coup sûr : l’auteur, d’un bout à l’autre en verve, n’a pas eu à beaucoup forcer le trait pour signer LE thriller made in France qui fait aujourd’hui... jazzer. », Le Figaro Magazine

« Karim Miské, réalisateur de documentaires, dont c’est ici le premier roman, gère admirablement ces dualités jusque dans son style, qui passe d’un onirisme éthéré aux plus froides descriptions. Chez Miské, pas de parcours linéaires, de flics qui font flics, de suspects coincés sur un faux pas, mais une grande soupe sociale, savoureusement complexe et diablement piquante. », Franck Mannoni, Le Matricule des Anges

 
     
 
                       
  Arab jazz       Karim Miské       Arab jazz  
                     

Arab jazz

Karim Miské

coll. Chemins Nocturnes
2012

     

Karim Miské

     

Arab jazz

Karim Miské (ENG)

coll. Chemins Nocturnes
2012