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Synopsis complet |
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Alban Joseph a changé d’identité. Il est devenu Albdelkrim Youssef, étudie l’arabe, lit le Coran dans le texte, suit à la lettre les commandements du prophète. Il se rend dans divers pays d’Afrique suivre un entraînement violent. Sous l’influence redoutable du Dr Ahmad Savant, il est devenu le pilier d’un groupe extrémiste. Par l’entremise d’une collègue de travail d’Alix, la DCRI s’introduit dans le journal où Alix note au jour le jour tout ce qu’elle apprend sur son demi-frère. Alix l’apprend et renverse alors la situation. Elle manipule les lecteurs non-autorisés de son journal, notamment un commissaire qui semble avoir le béguin pour elle, Medina. Alix, en parallèle, décrédibilise Alban auprès de ses amis islamistes, notamment auprès d’un certain Musad, Don Juan devenu paradoxalement très religieux, et qui reste sensible aux charmes d’Alix. Alban/Abdelkrim, surveillé depuis de longs mois, est arrêté avec un certain nombre de jeunes gens soupçonnés de préparer des attentats de par le monde. Mais peu à peu, tous sont relâchés, faute de preuve suffisante… Alban se retrouve alors isolé de ses amis. Il semble avoir été un leurre pour attirer l’attention alors que d’autres attentats étaient réellement organisés. La lecture du journal d’Alix achève de lui ouvrir les yeux. Il se découvre tel qu’Alix l’a dépeint : un être en quête de sensations et d’idéal. Alix et Alban partent alors pour un voyage au Niger où ils testent un circuit pour l’agence de voyage de leurs parents. La dernière nuit du séjour, Alban disparaît dans le désert. Les secours découvrent quelques jours plus tard un corps méconnaissable et carbonisé au volant d’un véhicule 4 x 4. Impossible de conclure à un meurtre ou un suicide. |
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Personnages principaux |
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Alix : Belle femme, la quarantaine. Elle s’est construite dans le rejet de la société de consommation, et contre ses valeurs. Elle a choisi de devenir restauratrice de tableaux. Enfant, elle a porté des responsabilités de mère et a élevé son demi-frère. Alban : La trentaine, un être insaisissable qui subit tout au long du roman des métamorphoses psychiques et même physiques au fur et à mesure de son extrêmisation. |
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On en parle dans la presse... |
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« Un roman intense au cœur de thématiques que l’actualité sait nous rappeler, parfois, avec violence. », Page des libraires « Un récit qui fonce à toute allure vers des cibles mouvantes, avec de l’humour à chaque ligne, servi par un art très fin de l’ironie. », La Croix « Dans le style lapidaire qu’il affectionne, sans affect, sans pathos, sans pitié, sans parti-pris idéologique, François Vallejo s’attaque au plus périlleux des sujets (l’islamisme et ses sirènes) et met le doigts sur quelques maux rongeant notre monde en voie de désintégration sociale, culturelle, civilisationnelle, religieuse. Un roman-choc troublant mais rassurant par son évidence romanesque. », Le Figaro |
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